Demain nous appartient : Véronique Genest pousse encore un coup de gueule contre TF1
Invitée au micro d’Europe 1, le 16 septembre 2020, Véronique Genest est revenue sur son différend avec TF1 concernant la façon dont elle a été lâchée par les producteurs de Demain nous appartient.
Entre TF1 et l’interprète de Julie Lescaut, il y a de l’eau dans le gaz. La raison ? En 2017, la chaîne lançait Demain nous appartient, son feuilleton télévisé quotidien. Or il se trouve que Véronique Genest devait faire partie du casting. "On m’a proposé Demain nous appartient", explique-t-elle à Philippe Vandel au micro d’Europe 1, "j’avais dit ‘Non’ car je ne voulais pas faire une quotidienne". Finalement, l’actrice rencontre le producteur de la série "qui insiste très lourdement" et finit par se laisser convaincre. Malheureusement, peu de temps après que Véronique Genest accepte son contrat, le dit producteur se faire virer. "On a continué à m’entretenir dans l’illusion de ce rôle, qui avait reculé dans le temps", raconte la comédienne. Persuadée d’avoir un accord avec les producteurs, Véronique Genest abandonne même une pièce de théâtre, jusqu’au jour où, via Internet, elle apprend qu’elle n’aura pas le rôle. "Les journalistes m’appelaient : il y avait plein d’annonces avec ma photo disant ‘Figuration pour jouer Véronique Genest’.
En colère, l’actrice précise cependant qu’elle n’aurait certainement pas accepté le rôle de toute façon. En effet, les producteurs de Demain nous appartient avaient pour projet de faire jouer à Véronique Genest la mère d’Ingrid Chauvin. "Je ne suis pas assez âgée quand même ! Du coup, je me suis énervée. C’est mon côté impulsif. Je gueule et après, ça passe", avouait-elle au Parisien en juin 2019.
"Ils m’ont fait perdre neuf mois de ma vie"
Quoiqu’il en soit, l’actrice n’apprécie pas la réaction de TF1 quant à son coup de gueule. "A chaque fois que les journaux titrent ‘Ils m’ont fait perdre neuf mois de ma vie’, au lieu de me dire qu’ils sont vraiment désolés, ils se fâchent avec moi en me disant que je n’ai pas à dire des choses comme ça", déplore Véronique Genest avant d’ajouter "Je suis désolée, mais je le réitère : ils m’ont fait perdre neuf mois de ma vie." Elle poursuit : "Dans notre métier, si on ne prévoit pas un an à l’avance, on se retrouve le bec dans l’eau et on a plus qu’à crever la bouche ouverte", avant de conclure : "Il y a un moment où il faut que les choses soient dites et arrêter de vouloir toujours culpabiliser les autres de dire les choses". Voilà qui est clair.
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