VIDEO. "Il faut arrêter de croire que le parfait existe" : un jour avec Eva Queen
« Il y a 3 ans, j’étais en mode lycée. Aujourd’hui je suis cheffe d’entreprise. » Brut a passé une journée avec la chanteuse française Eva Queen. Encore lycéenne il y a trois ans, elle cumule aujourd’hui les certifications sur ses titres – or, platine, diamant – et est suivie par des centaines de milliers de followers sur les réseaux sociaux. On a donc retrouvé la jeune artiste à côté de Nice, dans le petit village où elle a grandi. Eva Queen a très bien vécu les débuts de son ascension mais reconnaît être arrivée à saturation. « Je suis pas non plus un objet qu’on déplace et qu’on peut mettre de partout« , confie-t-elle.
« Il y a trop de vulgarité qui devient normale »
Eva a donc profité des confinements pour s’accorder une pause et reprendre sa vie en main. « J’ai décidé de faire ce que j’avais envie et ce que j’aimais et pas ce qu’on me conseillait« , précise la chanteuse. Forte de son expérience, Eva veut aujourd’hui rappeler que le « bonheur de chacun est propre à chacun« . « Il ne faut pas se mettre dans un moule, comme ça, comme on est en train, tous, de faire« , estime-t-elle. Elle pointe notamment les réseaux sociaux, leur rôle dans le mal-être de certains jeunes et la banalisation de la vulgarité. « Il faut arrêter de croire que le parfait existe parce que ça n’existe absolument pas« , conclut-elle.
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