Top Chef 2023 : qui est Jérémie Falissard, ce chef à la tête de quatre restaurants prisés au Canada ?
Dès le 1er mars prochain, les téléspectateurs retrouveront la 14e saison de Top Chef sur M6. Parmi les candidats, ils découvriront Jérémie Falissard, un chef prisé au Canada où il possède quatre restaurants et deux bars à cocktails. Présentations.
Il est le doyen de cette édition de Top Chef. Lui, c’est Jérémie Falissard. Alors que la plupart des candidats de cette 14e saison ont entre 25 et la petite trentaine, Jérémie affiche davantage d’expérience. Du haut de ses 40 ans, il est bien installé dans le milieu de la gastronomie, et plus particulièrement à Montréal où il a élu domicile. C’est pourtant en région parisienne que Jérémie Falissard est né, avant de grandir dans le sud de la France aux côtés de sa mère artiste et de son père musicien. C’est là-bas qu’il a appris la cuisine, poussé par une scolarité difficile. Après son apprentissage, le jeune homme s’est dirigé dans les plus beaux restaurants des alentours : Saint-Tropez, Sainte-Maxime, Les Issambres… Sauf que la mentalité "à l’ancienne, assez dure, aussi bien mentalement que physiquement et psychologiquement" a fini par avoir raison de sa passion. Au bout de quelques années de pratique, Jérémie Falissard a décidé de tirer un trait sur les fourneaux.
"J’ai voyagé, je suis parti en Angleterre pour apprendre de nouveaux métiers", se remémore-t-il. Pendant un an, il a ainsi officié en tant que barman dans la capitale britannique. "Jusqu’au moment où, avec mon meilleur ami, on a décidé de partir à Montréal", nous raconte-t-il. "En 2008, il y ouvre son propre restaurant et c’est quand son chef lui suggère fortement de reprendre les rênes de la cuisine que sa passion le rattrape", précise M6. Au cours des quatorze dernières années, il a ouvert deux pizzerias, un restaurant gastronomique, un bistrot ainsi que deux bars à cocktails – dont un a été élu meilleure découverte du "50 Best" cette année. Jérémie Falissard est du genre acharné de travail. "J’ai soif d’apprendre. Chaque année, je pars faire des stages dans des ’50 Best" à Londres, Paris, Danemark, etc. Dans ce métier, on n’est jamais trop bon. C’est important de toujours se remettre en question", estime-t-il.
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