The Voice (TF1) – Pascal Obispo : "Je me sens bien dans cette émission"
Après quelques semaines de pause, « The Voice » est de retour à l’antenne, ce samedi 6 juin 2020 sur TF1, en semi-direct, pour la demi-finale. À cette occasion, Pascal Obispo revient pour nous sur cette neuvième édition, riche en émotions.
Comment s’est déroulée cette saison ?
Pascal Obispo : Nous avons tous passé un moment extraordinaire. Lara (Fabian, ndlr), Amel (Bent), Marc (Lavoine) et moi sommes différents dans notre façon de concevoir notre art, et je pense que nos débats ont été intéressants pour les téléspectateurs. Nous n’avons pas toujours été d’accord, mais j’ai appris beaucoup de choses, et c’est ce qui fait le charme de ce programme pour lequel, au départ, j’avais eu quelques réticences.
Pourquoi étiez-vous réticent ?
J’ai toujours eu du mal avec « les remises de prix » en général. Nommer un gagnant me semble toujours compliqué quand on ne court pas tous avec la même voiture. Pour être juste, il faudrait juger les Talents sur la même chanson. Mais dans The Voice, quand j’ai vu que l’artistique prenait le pas sur les démonstrations techniques et vocales, qui me fatiguent un peu, ça m’a plu. Je me sens bien dans cette émission : la production est brillante, les musiciens fantastiques… Sans oublier Nikos : je le trouve exceptionnel dans sa façon de nous parler, de nous rassurer, de nous faire rire… C’est le cinquième élément de la bande… si ce n’est le premier !
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Abi, Baby J et Verushka sont les trois Talents de votre équipe. Qu’est-ce qui vous plaît chez eux ?
Verushka est à la fois d’une puissance incroyable et d’une extrême sensibilité. Quand on commence, dans ce métier, on fait tout pour se faire remarquer, et, parfois, on est maladroit. Et je sais de quoi je parle. Elle est une excellente chanteuse dont les maladresses me touchent. Baby J, c’est la jeunesse, la folie, et j’aime le fait qu’elle fasse de la musique en famille. J’aurais peut-être adoré ça, aussi. Dans ma famille, il y avait des musiciens, mais je ne les ai pas forcément vus… Ma tante et ma mère, qui jouaient du piano. Quant à Abi, c’est un phénomène d’une grande gentillesse, doux et pur, qui n’a sans doute pas encore pris conscience de l’étendue de ses capacités (…)
Une interview réalisée par Adeline Quittot, à lire en intégralité dans le magazine Télé 7 jours.
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