Laurence Ferrari : cette époque que la journaliste a particulièrement mal vécue, "pour ma famille…"

Laurence Ferrari n’a pas traversé une période centrale de sa carrière avec l’esprit tranquille. On vous explique ça !

Après avoir été pigiste à l’Agence France-Presse (AFP) à la fin des années 80, Laurence Ferrari fait entendre pour la première fois sa voix sur les ondes dans la rubrique santé d’Europe 1. France 2 la recrutera au même poste dans l’émission Studio Gabriel de Michel Drucker une dizaine d’années plus tard. LCI la propulse ensuite à la présentation de ses journaux de 6h à 10h avant que France Info ne la recrute à son tour. Le nouveau millénaire marque un tournant radical dans sa carrière. Entre le magazine Sept à huit, qu’elle co-présente avec son ex-mari Thomas Hughes et Vie ma vie, elle devient peu à peu le nouveau visage de TF1. La chaîne en fait sa vedette à partir du 25 août 2008, date à laquelle Laurence Ferrari présente pour la première fois le journal de 20 heures en semaine, poste qu’elle a occupé jusqu’en 2012.

La grande époque du JT de TF1 a eu un impact direct sur la vie de journaliste. Celle-ci ne s’en cache d’ailleurs pas dans les pages du dernier numéro de VSD. "J’ai été très exposée à titre personnel, donc, ça a été très violent. Mais pour ma famille aussi", répond-elle quand on l’interroge sur la médiatisation à outrance dont elle a souffert durant cette période. Au-delà des projecteurs braqués sur elle, Laurence Ferrari se souvient avoir été dans le viseur de certains collègues sexistes qui n’hésitaient pas à exprimer bien haut leurs opinions : "Le jugement est toujours beaucoup plus dur pour les femmes que pour les hommes, surtout dans ce métier. Alors forcément, ça a été parfois compliqué". Tout n’a cependant été aussi noir pendant ces quatre années de dur labeur.

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