La saison 17 de « L’amour est dans le pré » a un casting plein de surprises
- M6 dévoile la première partie des portraits des agriculteurs et agricultrices de la saison 17 de L’amour est dans le pré le lundi 14 février.
- Cette année, quatre femmes et neuf hommes âgés de 25 à 72 ans sont à la recherche de l’amour.
- 20 Minutes dresse la liste de celles et ceux qui marqueront à coup sûr cette nouvelle édition.
Le jour de la Saint-Valentin, il y aura les couples d’amoureux qui célébreront cette fête commerciale (oui,
c’en est une, il faut arrêter de se voiler la face) et les autres, qui se glisseront sous le plaid pour découvrir les premiers portraits de la dix-septième saison de L’amour est dans le pré, sur
M6. Cette année, treize agriculteurs et agricultrices, quatre femmes et neuf hommes, âgés de 25 à 72 ans, sont à la recherche de l’âme soeur.
Un revenant et un binôme étonnant
Parmi eux, un ancien visage emblématique de l’émission fait son grand retour. Il s’agit de Thierry, participant de la dixième saison. Lors de sa première aventure, il avait craqué pour Annick, qui avait fini par lui briser le cœur. En 2018, dans un épisode spécial Que sont-ils devenus ?, le viticulteur se montrait aux bras de Mimi, avec qui il était en couple depuis deux ans. Finalement, la magie n’a pas opéré très longtemps… Sept ans après son arrivée dans l’émission, celui qui était fan des imprimés léopard et de l’expression « coquin de sort » continue à rêver de mariage, même à 65 ans.
Autre grosse surprise de cette saison, un duo père et fille prendra part au programme pour la première fois. Jean-Paul et Emmanuelle sont âgés de 70 et 42 ans, et sont tous les deux viticulteurs dans le Grand-Est. Avant cette expérience professionnelle commune, Emmanuelle a été agent immobilier pendant dix-sept ans puis a rejoint son père sur son exploitation, il y a six ans. Lui, célibataire depuis 2019, espère trouver une femme entre 55 et 70 ans. Elle, éternelle optimiste, a un petit faible pour les grands tatoués.
Deux agriculteurs homosexuels au casting
Si elle nous avait permis de découvrir Thierry, la dixième saison avait aussi été le théâtre d’une avancée majeure dans l’histoire du programme, celle de l’arrivée du premier agriculteur gay au sein du casting. En 2015, la présence de Guillaume était un événement, mais la nouvelle saison de L’amour est dans le pré montrera que les personnes homosexuelles dans le monde paysan ne sont pas rares. Ainsi, on retrouvera deux agriculteurs gays à la recherche de l’amour cette année.
Le premier, Alain, âgé de 58 ans, est éleveur de veaux sous la mère et commerçant. Papa de deux enfants de 27 et 26 ans, il a été marié pendant sept ans avant de se séparer de sa compagne d’un commun accord, en 2000. Sept ans plus tard, il connaît un véritable coup de foudre pour Manu, l’ami d’un ami qu’on lui demande de récupérer à la gare. À l’âge de 44 ans, il connaît sa première expérience homosexuelle et un amour passionnel qui durera trois ans.
En Auvergne, Guillaume est éleveur de vaches allaitantes. Célibataire depuis 2018, ce fan de chansons traditionnelles et folkloriques de 34 ans espère trouver celui qui l’accompagnera durant les « quarante années à venir ». Il recherche un homme entre 28 et 35 ans pour partager son quotidien dans sa ferme pédagogique.
Un casta-quoi ?
Lors des portraits, les téléspectateurs et téléspectatrices découvriront aussi des professions insolites comme celle de Sébastien, 35 ans, un castanéiculteur venu de Corse. On vous évite un tour sur Wikipédia : il s’agit de la culture des châtaigniers et la transformation de la châtaigne. À l’opposé de l’île de beauté, en Bretagne, Alain est plongé dans l’équi-tourisme, c’est-à-dire qu’il promène les touristes en calèche sur les chemins de sa région.
À 56 ans, Agnès, elle, est la première maître-brasseuse de L’amour est dans le pré. Dans le Grand-Est, cette maman de trois filles, dont des jumelles, produit six sortes de bière et détient une licence pour recevoir une clientèle d’habitués dans son bar. Dans la catégorie « profession que l’on n’a pas l’habitude de voir dans l’émission », on terminera par le métier de Nadège, 30 ans, une inséminatrice d’équins. Depuis 2013, elle travaille dans un établissement consacré à la reproduction et l’élevage de chevaux de sport.
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