Koh Lanta : une candidate perd son emploi après sa participation au programme
Pour participer à la quinzième saison de Koh Lanta, Carole avait littéralement menti à son employeur et feint un arrêt maladie. Eliminée au bout du quatrième conseil, la jeune femme se retrouve aujourd’hui sans emploi…
Grosse désillusion pour une ancienne candidate de Koh Lanta, qui, après sa participation, se retrouve aujourd’hui sans emploi. Souvenez-vous, lors de la saison 15, Carole intégrait le casting du célèbre programme de TF1. Membre de l’équipe rouge dans « Koh Lanta : Thaïlande », la jeune femme s’était illustrée jusqu’au quatrième épisode avant de se faire éliminer par ses camarades d’aventures. Et en rentrant en France, Carole Poncelet a également perdu… son emploi !
Accusée de fraude
Comme le révèlent nos confrères de Capital, l’escrimeuse originaire du Puy-de-Dôme occupait lors de sa participation à Koh Lanta, un poste d’agent territorial à Clermont Auvergne Métropole et de maître nageur au centre aquatique Coubertin de Clermont-Ferrand depuis 2004. Seulement voilà, la fonctionnaire a délibérément menti à son employeur pour pouvoir s’envoler à l’autre bout du monde… sans avoir à poser des vacances ou un congé sans solde. La jeune femme a en effet feint d’être maladie et enchaîné les arrêts maladie pour justifier son absence prolongée. Clermont Auvergne Métropole lui reproche d’avoir participé « pendant ses [arrêts] maladie », « parfois rémunérée », et « sans autorisation de cumul d’activités », au divertissement : « Mme F. a apparemment su trouver des médecins pour lui prescrire des arrêts maladie lui interdisant de travailler, mais sans que cela lui interdise de pratiquer des activités physiques intenses » a déclaré son employeur.
Accablée, Carole a donc été suspendue de ses fonctions pendant deux ans, avant d’être finalement révoquée par le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, le 4 juillet dernier. Si elle assume avoir « commis une faute », l’apprentie aventurière, envisagerait de faire appel de cette décision de justice.
Aliénor de la Fontaine
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