J'y crois encore : KJ Apa (Riverdale) se lance à corps perdu dans ce drame musical, notre critique
On ne s’attendait pas à retrouver la star de Riverdale, KJ Apa, dans un drame Chrétien adapté d’une histoire vraie : c’est pourtant le cas avec son nouveau film, J’y crois encore ! Ce long-métrage est basé sur la vie du chanteur-compositeur Jeremy Camp et de sa première femme Melissa Lynn Henning-Camp, tragiquement décédée d’un cancer quelques mois après son mariage. Lors de leur rencontre à l’université, c’est le coup de foudre instantané entre les deux jeunes gens. Lui est un musicien en devenir, accro à sa guitare, qui n’hésite pas à se faufiler dans les coulisses d’un concert afin d’échanger avec son idole en amont d’une représentation. C’est alors qu’il croise le regard de sa future épouse, au premier rang du public, et qu’une histoire d’amour absolue s’engage entre eux.
Hélas, alors que Jeremy connaît de plus en plus de succès en tant que chanteur, sa foi en Dieu est mise à l’épreuve par la maladie de Melissa, qui s’avère être cancéreuse. Entre la chimiothérapie, les rechutes et les larmes de la jeune femme, c’est de plus en plus difficile pour eux de continuer à croire, ce qui a donné naissance à une chanson dont le titre est aussi celui du film. Très émouvante, l’histoire racontée par les frères Erwin (La Voix du pardon) reste toujours solaire malgré son thème douloureux. Les deux comédiens principaux, K.J. Apa et Britt Robertson, se donnent à corps perdu dans leurs rôles, sans réussir à les rendre aussi charismatique qu’ils auraient pu l’être. Son personnage de guitariste généreux et altruiste n’est pas sans nous rappeler celui d’Archie Andrews, toutefois moins nuancé.
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