Tout ce qu’on déteste dans les cabines d’essayage
C’est les soldes et comme à chaque fois qu’on part faire les magasins, le passage en cabine entre file d’attente hyper longue et étroitesse du lieu nous donne parfois envie d’hurler. Petit tout non exhaustif de tout ce qui peut rendre marteau lors d’un passage en cabine d’essayage.
Le rideau inadapté
C’est un phénomène observé dans toutes les boutiques de France et de Navarre, mais qui reste largement inexpliqué : ce satané rideau qui ne ferme pas complètement la cabine. On a beau le tirer d’un côté comme de l’autre, il y a toujours un petit interstice qui permet à n’importe quel voyeur de nous mater ou de voir combien il nous est difficile d’enfiler (et de retirer) cette taille 38 à laquelle on croyait tant. La solution : prendre la cabine du fond ou garder son manteau quitte à risquer la suffocation.
L’éclairage ingrat
Certes, on ne s’attend pas à un miracle de Caravage, mais tout de même, on aimerait ne pas avoir à choisir entre l’éclairage façon salle d’interrogatoire à Guantanamo et les spots chauffants digne de la Fashion Week. L’idéal serait l’imitation “néons d’open-space” car, soyons honnête, c’est principalement sous cette délicieuse lumière que les vêtements en question seront vus la plupart du temps.
Le complot du miroir
Fait scientifique : plus le miroir est fin, moins l’image qu’il renvoie est fidèle à la réalité. Selon cette logique, celui des boutiques est donc aussi représentatif de notre silhouette qu’un selfie sur Snapchat peut l’être. Résultat ? La dernière fois qu’on a essayé une slip dress chez Zara, elle était aussi ajustée devant le miroir qu’étriquée une fois rentrée chez nous. Comme quoi, ne jamais faire confiance à une boutique qui passe du Maitre Gims tout en laissant les enfants utiliser leurs trottinettes entre les rangées de portants.
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Le portant manquant
Pourquoi serais-je, moi, obligée de poser ma sublime veste de costume en alpaga par terre ? Et si c’était *vos* vêtements qu’on laissait traîner sur ce sol jonché de poussières, de mouchoirs usagés ou encore tickets de caisse oubliés ? Et quand bien même, il y a suffisamment de portants pour tout accrocher, pourquoi diantre miser sur cette forme bizarroïde métallisée sur laquelle le moindre top glisse sans même essayer de s’accrocher ? Tant de questions, si peu de réponses.
Le tabouret unique
Considérant la problématique précédente, l’autre support pratiquable, à savoir le tabouret, est souvent encombré de notre sac à main, notre manteau et donc inutilisable en cas d’essayage fortuit de quelconque sublime paire de souliers. Cela signifie par conséquent qu’on doit accessoirement se reposer sur ce sol peu ragoutant pour les essayer, slash les retirer, dans un subtil jeu d’équilibriste. Un bonheur.
Source : marieclaire.com
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