Végétarien, sans gluten… Cuisiner pour les autres, ça devient compliqué !
On aime régaler nos proches avec un bon petit plat. Mais entre Jean, le végétarien, et Martine, la « sans lactose », on se sent bien seule devant notre blanquette de veau.
La notion de partage est particulièrement marquée dans la tradition culinaire française, rappelle Éric Birlouez, sociologue de l’alimentation. Se nourrir va de pair avec se réunir et se réjouir. Préparer une recette pour les autres, c’est aussi parler de soi, dévoiler un pan de ses goûts et de ses traditions familiales… et l’offrir sur un plateau à ses convives. « C’est une forme de don de soi », résume le spécialiste. Et voilà que Mathilde secoue la tête (« Je ne mange plus de bébés animaux, tu sais »), et que Yves trie ses aliments comme s’il avait 3 ans… Quand l’autre refuse le plat que l’on a cuisiné, même en partie, on est déçue. C’est une rupture : la communion attendue n’aura pas lieu. Et puis ils sont agaçants, quand même. Nous, on a été éduquée à finir notre assiette, surtout à l’extérieur. Question de politesse !
C’est possible de faire ça avec le zest d’orange !
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Pourquoi tout le monde en France s’approprie-t-il ces nouveaux écouteurs sans fil?
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