Les personnes qui n'aiment pas ces aliments plus résistants face au Covid-19 ?
Vidéo: L’impulsivité alimentaire, c’est quoi ? (Femme Actuelle)
En Bretagne, une pouponnière pour insectes, alternative naturelle aux pesticides
AFP
Une basilique romaine datant de plus de 2000 ans découverte en Israël
KameraOne
Turquie: les cafés et restaurants accueillent à nouveau les clients
AFP
Cannes: la ville prête à accueillir les festivaliers en juillet
AFP
Marseille: un bus gratuit pour amener des publics éloignés au Mucem
AFP
Maroc: la capitale du tourisme, Marrakech, à bout de souffle avec la crise sanitaire
Le Figaro
A Tulsa, 100 ans après, la mémoire vive d'un des pires massacres raciaux des Etats-Unis
AFP
Les humains et les grands requins blancs cohabitent ensemble en Californie
KameraOne
Un hippopotame énervé poursuit un bateau de touristes
KameraOne
Paris: une exposition consacrée à un David Bowie inattendu
AFP
Une GoPro emportée par les vagues retrouvée en état de marche cinq ans plus tard
KameraOne
À Paris, une procession catholique attaquée par des antifas
Le Figaro
Turquie : un port envahi de mucilage marin, la vie marine menacée
KameraOne
La fusée Longue Marche 7 s’arrime à la future station spatiale chinoise
Le Figaro
En Bretagne, une pouponnière pour insectes, alternative naturelle aux pesticides
En Bretagne, une pouponnière bichonne des millions de punaises, de micro-guêpes et de bourdons. Objectif: protéger naturellement les cultures contre les mouches blanches ou les pucerons.
AFP
Une basilique romaine datant de plus de 2000 ans découverte en Israël
Une basilique romaine vieille de 2000 ans a été découverte lors de fouilles archéologiques à Ashkelon dans le sud du pays. Construit à la demande du roi Hérode le Grand, le site aurait été achevé aux alentours du deuxième siècle de notre ère, et comprenait des espaces pour le commerce et les fêtes, ainsi qu'un théâtre.
KameraOne
Turquie: les cafés et restaurants accueillent à nouveau les clients
Les restaurants et les cafés en Turquie, dont les activités étaient limitées aux ventes à emporter depuis la mi-avril dans le cadre des restrictions contre la pandémie, accueillent à nouveau du public. Les établissements peuvent accueillir des clients entre 07H00 et 21H00 tandis que les ventes à emporter sont autorisées jusqu'à minuit. IMAGES
AFP
Symptômes grippaux, fiévreux, respiratoires, troubles psychiatriques, perte du goût et/ou de l’odorat, Covid long perdurant plusieurs mois après l’infection… Après un peu plus d’une année de pandémie, chercheurs et médecins sont encore parfois dans l’incapacité de déterminer pourquoi certains patients réagissent différemment face au Covid-19.
En Bretagne, une pouponnière pour insectes, alternative naturelle aux pesticides
AFP
Une basilique romaine datant de plus de 2000 ans découverte en Israël
KameraOne
Turquie: les cafés et restaurants accueillent à nouveau les clients
AFP
Cannes: la ville prête à accueillir les festivaliers en juillet
AFP
Marseille: un bus gratuit pour amener des publics éloignés au Mucem
AFP
Maroc: la capitale du tourisme, Marrakech, à bout de souffle avec la crise sanitaire
Le Figaro
A Tulsa, 100 ans après, la mémoire vive d'un des pires massacres raciaux des Etats-Unis
AFP
Les humains et les grands requins blancs cohabitent ensemble en Californie
KameraOne
Un hippopotame énervé poursuit un bateau de touristes
KameraOne
Paris: une exposition consacrée à un David Bowie inattendu
AFP
Une GoPro emportée par les vagues retrouvée en état de marche cinq ans plus tard
KameraOne
À Paris, une procession catholique attaquée par des antifas
Le Figaro
Turquie : un port envahi de mucilage marin, la vie marine menacée
KameraOne
La fusée Longue Marche 7 s’arrime à la future station spatiale chinoise
Le Figaro
En Bretagne, une pouponnière pour insectes, alternative naturelle aux pesticides
En Bretagne, une pouponnière bichonne des millions de punaises, de micro-guêpes et de bourdons. Objectif: protéger naturellement les cultures contre les mouches blanches ou les pucerons.
AFP
Une basilique romaine datant de plus de 2000 ans découverte en Israël
Une basilique romaine vieille de 2000 ans a été découverte lors de fouilles archéologiques à Ashkelon dans le sud du pays. Construit à la demande du roi Hérode le Grand, le site aurait été achevé aux alentours du deuxième siècle de notre ère, et comprenait des espaces pour le commerce et les fêtes, ainsi qu'un théâtre.
KameraOne
Turquie: les cafés et restaurants accueillent à nouveau les clients
Les restaurants et les cafés en Turquie, dont les activités étaient limitées aux ventes à emporter depuis la mi-avril dans le cadre des restrictions contre la pandémie, accueillent à nouveau du public. Les établissements peuvent accueillir des clients entre 07H00 et 21H00 tandis que les ventes à emporter sont autorisées jusqu'à minuit. IMAGES
AFP
Mais une nouvelle étude publiée dans la revue JAMA Network Open pourrait nous en apprendre plus. Les résultats de ces travaux, relayés par National Geographic, suggèrent en effet que la façon dont les gens réagissent aux saveurs amères est en corrélation avec la gravité de leur infection au Covid-19.
Les « super-goûteurs » moins à risque face au Covid ?
Pour ce faire, l’équipe dirigée par Henry Barham, rhinologue au Baton Rouge General Medical Center en Louisiane, a analysé 1.935 adultes, dont 266 avaient été infectés par le SARS-CoV-2.
Résultat, les « super-goûteurs », ces personnes qui ont jusqu’à quatre fois plus de papilles gustatives sur leur langue que le reste de la population, et sont extrêmement sensibles aux composés amers qui abondent dans des légumes tels que le brocoli, le chou et les choux de Bruxelles, seraient significativement moins susceptibles d’être testés positifs, d’être hospitalisés et de souffrir de symptômes durables.
Un chiffre met ce constat en perspective : 86% des personnes du groupe atteintes d’un Covid-19 sévère nécessitant une hospitalisation étaient des « non-goûteurs ». À l’inverse, seuls 6% des « super-goûteurs » ont été testés positifs pour le SARS-CoV-2.
Le rôle central du gène T2R38
« Il s’agit d’une étude très intéressante qui suggère que les récepteurs de notre langue qui nous permettent de sentir les saveurs amères sont également liés à notre vulnérabilité aux infections respiratoires comme le Covid-19 », juge David Aronoff, directeur du service des maladies infectieuses au centre médical de l’université Vanderbilt, à Nashville, et qui n’était pas impliqué dans ces recherches.
Mais si l’on regarde dans le détail, la langue n’est pas le seul organe impliqué. Les composés amers sont identifiés par les récepteurs gustatifs de type 2, qui sont fabriqués par une famille de gènes appelés T2R. Et plus une personne comptera de gènes T2R38, plus elle se révélera intolérante aux goûts amers, explique en résumé National Geographic.
Ces gènes T2R38 sont par ailleurs présents dans d’autres zones que la langue, notamment le nez et les voies respiratoires supérieures, où ils répondent aux agents pathogènes envahissants en libérant de l’oxyde nitrique. De recherches précédentes ont montré que ce même oxyde nitrique pouvait empêcher les infections des sinus, et même empoisonner le SARS-CoV-2.
Des résultats à prendre avec prudence
Selon Henry Barham, les tests gustatifs pourraient donc être un moyen sûr, rapide et peu coûteux de classer les personnes dans des groupes à risque pour le Covid-19, et éventuellement d’autres infections.
Toutefois, les conclusions de cette étude doivent être prises avec une extrême prudence. « À ce stade, les résultats de ce travail sont prématurés pour nous aider à gérer le Covid-19 en clinique », prévient David Aronoff, qui rappelle que « les personnes qui détestent le brocoli ne devraient pas éviter la vaccination« .
« Mais les résultats pourraient avoir un impact sur notre compréhension de ce qui conduit les gens à être plus ou moins vulnérables aux infections comme Covid-19 », tempère-t-il.
De son côté, Danielle Reed, directrice associée du Monell Chemical Senses Center qui a effectué les tests génétiques dans l’étude Barham, n’a pas souhaité apparaître comme auteur de l’étude car elle n’arrivait pas aux mêmes conclusions. Selon elle, les travaux n’ont pas tenu compte de « la perte de goût générale, qui est une caractéristique précoce et essentielle du Covid-19 ». En conséquence, elle pense que certains patients « ont été catégorisés à tort comme des non-goûteurs ».
Source: Lire L’Article Complet