Éditions limitées, calibre… Tag Heuer célèbre les 50 ans de son iconique montre Monaco avec panache

Au programme de ce cinquantième anniversaire ? Un tout premier mouvement maison, le Calibre Heuer 02 et cinq éditions limitées déclinant chacune les codes d’une décennie. Avis aux collectionneurs.

Un seul coup d’œil à la rigueur de ce chrono au carré et c’est tout le charme légendaire de Steve McQueen qui revient immédiatement en tête, entre rush d’adrénaline et asphalte brûlé par la course que se livrent les pilotes sur le circuit de Le Mans. Une montre Monaco dont l’empreinte est définitivement imprimée sur la rétine des fans inconditionnels de l’acteur, qui a par ce film iconique sorti en 1971 lié pour toujours son nom à ce garde-temps, tel Paul Newman et sa Daytona. Lancée en 1969, ce bolide racé signé Tag Heuer a passé son jubilé des 50 ans cette année. L’occasion pour la manufacture de célébrer sa Monaco, baptisée ainsi d’après le célèbre Grand Prix, au fil d’un doublé gagnant.

Success story

Montre Monaco 1969-1979 première édition limitée à 169 montres. Mouvement automatique, fonctions chronographe, date et petite seconde. Boîtier en acier, bracelet en cuir marron, Tag Heuer.

Montre Monaco 1979-1989 deuxième édition limitée à 169 montres. Mouvement automatique, fonctions chronographe, date et petite seconde. Boîtier en acier, bracelet en cuir noir, Tag Heuer.

Montre Monaco 1989-1999 troisième édition limitée à 169 montres. Mouvement automatique, fonctions chronographe, date et petite seconde. Boîtier en acier, bracelet en cuir bleu, Tag Heuer.

Montre Monaco 1999-2009 quatrième édition limitée à 169 montres. Mouvement automatique, fonctions chronographe, date et petite seconde. Boîtier en acier, bracelet en cuir noir, Tag Heuer.

D’un côté, un tout premier mouvement manufacture automatique, baptisé Calibre Heuer 2 pour doper le cadran bleu soleillé des rééditions des Monaco. De l’autre, cinq éditions collector, pensées pour épouser les tendances phares de ces cinq dernières décennies, qui ont été dévoilées tout au long de l’année sur les compétitions les plus en vue. Nos coups de cœur ? Le trait d’épure au noir intégral de la cinquième édition, dite Shanghai et le brun vintage très seventies de la toute première variation. Une jolie réinterprétation du passé dont la cote risque de flamber.

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