Yannick Jadot au 20h de TF1 : pourquoi son look n’est pas passé inaperçu
Invité au JT de 20 heures diffusé sur TF1 dimanche 30 janvier, Yannick Jadot est apparu avec un look un peu différent de celui qu’il arbore d’habitude. Un détail notable pour celui qui a pour objectif la prochaine élection présidentielle.
Yannick Jadot était l’invité d’Anne-Claire Coudray, dimanche 30 janvier. Sur le plateau du journal télévisé du 20 heures diffusé sur TF1, le candidat écologiste à l’élection présidentielle est apparu un brin différent. En effet, le compagnon de la journaliste Isabelle Saporta a fait le choix de porter, sur sa fidèle chemise blanche et sa veste de costume, une cravate bleu marine. Un détail qui n’en est pas vraiment un puisqu’il semble tout droit inspiré d’une critique faite par un auditeur de France Inter.
Pour rappel, Yannick Jadot était au micro du 7/9 Inter, le 25 janvier dernier. Acceptant de répondre à quelques questions, il a été interrogé au sujet de sa tenue, et notamment de son absence de cravate, accessoire qui pourrait avoir son importance s’il est élu à l’élysée. Ni une ni deux, voilà donc le candidat relooké d’une façon plus formelle. Il avait d’ailleurs indiqué au fameux auditeur que « lors de [s]es déplacements, les personnes d’un certain âge [lui] disent ‘pour être président de la République, il faut mettre une cravate’ ». « Et je l’entends, parce que je ne veux pas être disqualifié sur un vêtement », avait-il répliqué, en précisant qu’à « un moment donné, [il] sortir[a] la cravate » pour qu’on le prenne davantage au sérieux. C’est donc chose faite.
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"Je n'ai rien à dire à Christiane Taubira, c'est une candidature de plus, c'est exactement l'inverse de ce que voulait la #PrimairePopulaire." #PrimairePop
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Une « campagne trop plan-plan » ?
Reste à voir désormais si Yannick Jadot continuera de porter cet accessoire lors de ses prochaines interviews, afin de gagner davantage la confiance de ses équipes. Le 6 janvier, Libération révélait que Jérôme Gleizes, conseiller au sein de la capitale et vice-président du groupe Ecologiste de Paris ne croyait pas vraiment en sa campagne présidentielle. « Ça ne marche pas. Il faut être plus réactifs sur l’actualité, rebondir, comme le fait Mélenchon », confiait-il à nos confrères, en reprochant au candidat de mener une « campagne trop plan-plan ».
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Capture écran TF1
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