VIDÉO – Bernard Montiel défend son confinement au bord de la mer : « Je suis chez moi »
Ce jeudi 23 avril, Bernard Montiel s’est défendu après les nombreuses insultes et attaques dont il fait l’objet sur les réseaux sociaux. L’animateur télé est accusé de faire partie des Parisiens qui ont fui la capitale seulement à cause du confinement.
Ce jeudi 23 avril, les caméras de Complément d’enquête sur France 2 ont filmé Bernard Montiel à Pyla-sur-Mer, charmante station balnéaire de la Gironde. Ce dernier est pointé du doigt sur les réseaux sociaux par ceux qui accusent les Parisiens d’avoir fui la capitale et propagé le virus.
Pourtant, Bernard Montiel n’est pas un touriste. Il y possède sa résidence principale depuis 32 ans. Il ne se sent d’ailleurs pas du tout Parisien comme il le confie face aux caméras. « Là, ils se sont trompés, là c’est une erreur. Je ne suis pas venu me planquer, je suis rentré chez moi voter. Puis confinement deux jours après, donc je suis resté chez moi. Qui peut me le reprocher ? C’est bizarre, j’ai été un peu le symbole de ceux qui sont venus rentrer chez eux au lieu de rester deux mois enfermés à Paris dans leur petit appartement et qui sont venus dans leur maison ».
« Certains m’ont dit ’merci’ »
Ce n’est pas la première fois que l’ancien acteur de Sous le soleil a été contraint de se justifier. Le lundi 30 mars, il avait déjà répondu à ses détracteurs dans Ce soir chez Baba. « Je suis Bordelais et j’ai cette maison depuis plus de trente ans. C’est ma résidence principale où je vais régulièrement », a-t-il d’abord expliqué. Mais ce n’est pas pour autant qu’il n’a pas été touché par les critiques. « Je me suis amusé à envoyer quelques images parce qu’on avait le droit à quelques balades tout de même, à sortir un peu, j’ai fait des images de la mer, des rues désertes, tout ça, certains me l’ont reproché mais très peu, d’autres m’ont dit ‘merci, ça nous permet de nous évader, de voir autre chose' ». Il a tout de même pris le temps entre deux clichés de paysage de poster un message à l’attention des soignants qu’il soutient.
Crédits photos : France 2
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