"Tu n’as pas honte ?" : Chantal Ladesou culpabilise, ce à quoi elle a renoncé…

Alors qu’elle est actuellement une des enquêtrices de "Mask Singer" et qu’elle fait son retour sur scène dans la pièce "1983", Chantal Ladesou s’est confiée en promo dans les pages du magazine "Gala". Un portrait à son image dans lequel elle a confié ce à quoi elle a renoncé par culpabilité.

Quant à savoir la phrase qu'elle-même ne pensait pas prononcer à voix haute un jour, la pensionnaire régulière des Grosses Têtes de RTL précise : "Ferme la porte et mets le verrou ! Quand j'étais jeune, on laissait tout ouvert, on ne s'enfermait pas à double tour." La star habite à Paris mais possède aussi une demeure à Ramatuelle, dans le Sud de la France. "Une maison taillée dans le roc, d'une grande simplicité", avait-elle déjà confié à Gala précédemment. On imagine que contrairement aux ultra riches pointés du doigt en ce moment, ce n'est certainement pas en jet privé qu'elle s'y rend. Sa fibre écologiste la pousse-t-elle à prendre le train plutôt que la voiture ? Mystère….

Chantal Ladesou de retour sur les planches

Si la star fait des confidences c'est que son actualité est brûlante. Alors que les téléspectateurs de TF1 peuvent la voir dans Mask Singer saison 4, elle aussi et surtout de retour au théâtre. Après avoir cartonné dans Nelson, Peau de vache ou encore Adieu, je reste ! on la retrouve désormais dans la pièce intitulée 1983 au Théâtre de la Porte-Saint-Martin à Paris. Elle y donne d'ailleurs la réplique à sa fille Clémence et son mari Michel Ansault ! 

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Une publication partagée par Chantal Ladesou (@chantalladesou)

Le pitch de la pièce signée Jean Robert-Charrier : "En 1983, après un succès fulgurant dans l'univers de la mode, Michèle Davidson décide de se couper totalement du monde – quelques mois seulement – pour retrouver l'inspiration. Sauf qu'on est en 2022 et qu'elle est toujours enfermée… Sa découverte de notre époque actuelle sera un véritable choc des cultures avec les années 80. Des épaulettes, des brushings, des paillettes, Chantal Ladesou, un vieux qui meurt et un téléphone à roulette…"

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