Thierry Beccaro revient sur son enfance "fracassée" par un père alcoolique et violent
Mercredi 4 mars, Michel Cymes a reçu Thierry Beccaro dans son émission « Ça ne sortira pas d’ici » diffusée sur France 2. L’ancien présentateur de « Motus » a profité de cet entretien avec l’acolyte d’Adriana Karembeu pour revenir sur son passé d’enfant battu, sujet qu’il évoque déjà dans son livre « Je suis né à 17 ans ». Non Stop People vous en dit plus.
En décembre dernier, Thierry Beccaro était l’invité de Mickaël Dorian dans « Good Morning Week-end » sur Non Stop People. Un entretien au cours duquel il est revenu sur son départ de France Télévisions après 29 ans aux commandes de son émission phare, « Motus ». « J’ai eu pratiquement neuf, dix mois pour préparer mon départ dans le plus grand secret. Ce n’était pas toujours facile », disait-il. En effet, France 2 lui avait demandé de ne rien dire afin de réaliser « une saison correcte sans que ça sorte dans la presse », continuait-il.
Un mois après, c’est pour un tout autre sujet que les téléspectateurs l’ont retrouvé dans « Clique » sur Canal+. En effet, le présentateur de 63 ans a parlé de son passé d’enfant battu face à Mouloud Achour. Il a ainsi fait de poignantes confidences sur le cauchemar qu’il a vécu.
« Le moindre prétexte, c’était la raclée »
Invité mercredi 4 mars dans « Ça ne sortira pas d’ici » sur France 2, Thierry Beccaro a une nouvelle fois évoqué ses souffrances d’enfant face à Michel Cymes. Il s’est ainsi remémoré la personnalité de son père, qui était violent à son égard et alcoolique. « Son parcours, ses démons à lui, sa jalousie, son entourage le soir. Il rentrait à la maison et je ne savais pas, quand, jamais. Le moindre prétexte, c’était la raclée. C’était quelque chose d’inimaginable. Un enfant n’a pas la structure psychologique quand on le fracasse. On ne touche pas à un enfant », a-t-il dit.
En mai dernier, il avait révélé au micro d’Europe 1 avoir suivi une thérapie avec un psychologue. « Heureusement, j’ai fait ce travail sur le divan pour évacuer tout ce que j’avais vécu, et pour arriver au pardon, pour me débarrasser de la rancoeur, de l’amertume, de ce qui dévore. Je me suis dit que pour moi, pour ma famille, il fallait faire quelque chose. L’entourage ne sait pas forcément ce que vous avez vécu, car ce sont des choses qui ne sont pas racontables. C’est de l’indicible », expliquait-il.
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