Soupçonné d’être le tueur en série surnommé le Grêlé, un ancien gendarme se suicide en laissant une lettre d’aveux

Âgé de 59 ans, un ancien gendarme était suspecté par la police d’être le tueur en série surnommé le Grêlé. Selon les informations dévoilées par Le Point jeudi 30 septembre 2021, l’homme en question s’est suicidé en laissant une lettre d’aveux.

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Un mystère vieux de 35 ans est en passe de se résoudre dans le département du Gard. Selon les informations dévoilées jeudi 30 septembre 2021 par Le Point, la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne avait convoqué un homme suspecté d’être le tueur en série surnommé le Grêlé, afin qu’il se soumette à un prélèvement génétique. Pour rappel, le Grêlé a commencé son parcours criminel en 1986 avec l’assassinat d’une fillette de 11 ans, baptisée Cécile Bloch. Par la suite, pas moins de six viols et de trois autres meurtres seront directement imputés à ce tueur en série, dont le surnom fait référence à la particularité de sa peau marquée par l’acné.

L’homme suspecté par la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne était un ancien gendarme âgé de 59 ans. Cependant, ce dernier ne se rendra jamais à la convocation des enquêteurs en charge de l’affaire, étant donné qu’il s’est donné la mort mercredi 29 septembre 2021 au Grau-du-Roi, dans le département du Gard. Selon une source proche du dossier, le suspect a laissé derrière lui une lettre d’aveux. À présent, l’ADN de l’ancien gendarme qui vient de mettre fin à ses jours sera comparé aux traces retrouvées sur les scènes des crimes imputés au Grêlé. Le résultat des analyses sera connu d’ici le vendredi 1er octobre au plus tard.

Le Grêlé : une lettre d’aveux revendiquant les crimes, mais pas l’identité du tueur en série

Prénommé François V., l’homme suspecté par la police a avoué tous les meurtres dans sa lettre d’adieux, sans pour autant indiquer avec précision qu’il était bel et bien le tueur en série surnommé le Grêlé. Pour rappel, sa première victime, Cécile Bloch, était une collégienne de 11 ans qu’il a violée et tuée en 1986 dans son immeuble de la rue Petit, situé dans le 19e arrondissement de Paris. Depuis ce jour, plusieurs générations d’enquêteurs de la brigade criminelle de Paris, située au célèbre 36 Quai des Orfèvres, ont traqué le moindre indice pour confondre l’auteur de ce crime abominable, qui a récidivé à plusieurs reprises.

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