Repas universitaires quasi-gratuits, allocation de rentrée revalorisée : zoom sur les bonnes nouvelles de Jean Castex
Le nouveau premier ministre et ses promesses pour la rentrée risquent de réchauffer les cœurs des parents et des étudiants boursiers. Voici pourquoi.
Le 15 juillet dernier, Jean Castex présentait les nouvelles mesures envisagées pour la rentrée 2020.
D’après ses dires, la jeunesse semble être au cœur de ses priorités. Après une année scolaire particulièrement « chaotique » et bouleversée par la pandémie de Covid-19, la rentrée 2020 devra être rassurante et vécue dans les meilleures circonstances possibles par les étudiants et les parents.
Les repas universitaires à 1 € ?
Parmi ses annonces, une a particulièrement retenue l’attention des internautes : celle du prix des repas universitaires, qui sera désormais à 1 euro pour les étudiants boursiers.
Cela va dans le bon sens. La précarité est très forte chez les étudiants et c’est important de baisser le prix de restauration universitaire après l’avoir augmenté l’an dernier.
Précisait Mélanie Luce, présidente de l’Unef (Union nationale des étudiants de France) avant de souligner l’envie d’un tarif si préférentiel pour tous :
On aurait aimé que ce tarif soit en vigueur pour tous les étudiants. Les non-boursiers ont aussi des difficultés financières. Le repas à un euro pour tous aurait été bienvenu.
Un coup de pouce pour les parents
Ce n’est pas tout : une bonne nouvelle n’arrive jamais seule. Jean Castex a également dévoilé une autre belle nouvelle qui risque de soulager les parents d’élèves :
L’allocation de rentrée scolaire sera revalorisée de façon exceptionnelle dès la rentrée de septembre.
L’homme politique compte bien mettre de « la crème dans les épinards » des parents d’élèves via son plan de pauvreté, qui sera peut-être « poursuivi et amplifié en fonction de l’évolution de la conjoncture ».
Enfin, le mot d’ordre de cette saison doit être la solidarité selon le premier ministre :
La solidarité nationale doit continuer à jouer à plein, pour éviter une crise sociale majeure et des drames humains, individuels, désastreux.
Affaire à suivre.
En attendant que ces nouvelles mesures voient le jour, n’oubliez pas de porter votre masque dans les lieux publics clos.
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