Pourquoi l’ex-femme de David Douillet a failli mourir à Chambord
Il y a quelques années, Valérie et David Douillet avaient leurs habitudes de chasse dans le domaine du château de Chambord. L’ex-femme du judoka a, d’ailleurs, failli y perdre la vie…
Dans son livre Noël à Chambord, aux éditions Grasset, la journaliste Émilie Lannez nous raconte les petits et les grands secrets de ce château de la Loire, très prisé notamment par Emmanuel Macron et son épouse. On découvre notamment, au fil des pages, que le domaine de Chambord est une terre régulière de chasses et que les anciens pontes des Républicains et du Parti Socialiste ont leurs habitudes lors de ces battues.
"François Baroin aime être accompagné par le garde Alain, mais celui-ci ayant pris sa retraite, il bénéficie dorénavant d’un autre accompagnateur, nous explique, par exemple, Émilie Lannez. Le judoka et conseiller régional, David Douillet a lui ses habitudes avec Untel, Gérard Larcher préfère un autre encore, Claude Bartolone déteste ne pas tirer beaucoup, Christian Jacob est plus conciliant."
Valérie sauvée par un député de Meurthe-et-Moselle
La journaliste évoque donc la présence régulière de l’ancien champion olympique de judo, David Douillet. Mais, par le passé, ce dernier ne venait pas seul et il était régulièrement accompagné de son ancienne épouse, Valérie. Le domaine de Chambord doit, d’ailleurs, rester, bien présent, dans sa mémoire. Elle a, en effet, failli y laisser sa vie. "Valérie Douillet, l’épouse divorcée de l’ancien ministre des Sports, s’est remise, elle, d’avoir été chargée par un sanglier lui fonçant dessus. Elle ne dut son salut qu’à son voisin, le député de Meurthe-et-Moselle, qui abattit l’animal", raconte Émilie Lannez.
En 2013, dans les colonnes de nos confrères de La Nouvelle République, on apprenait que David Douillet et son ancienne épouse s’étaient octroyé une partie de chasse chez des amis, en Sologne. "David a pu démontrer ses talents de chasseur face au petit gibier. Il n’a pas changé son fusil d’épaule et reste lui-même. Il a gardé l’œil vif, la souplesse et les réflexes d’antan. Son tableau de chasse, comme au judo, a été impressionnant", écrivait Jean Plouviez, le correspondant local.
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