Morandini Live : Emmanuel Macron au Salon de l'Agriculture, une visite réussie ? (Vidéo)
Ce lundi 24 février, Jean-Marc Morandini a présenté un nouveau numéro de son émission « Morandini Live » dans lequel il est revenu sur la visite d’Emmanuel Macron au Salon de l’Agriculture. Pour en parler, il a reçu Jean-Christophe Gallien, expert en communication, qui a décrypté ce passage qui, tout au long de la journée, a été suivi par différentes chaînes de télévision.
Le week-end d’Emmanuel Macron a été pour le moins chargé. En effet, le président de la République s’est rendu au Salon de l’Agriculture qui se tient jusqu’au 1er mars prochain à Paris Expo, Porte de Versailles. Au total, il a passé plus de 13 heures sur place. « Ce n’est pas un record, mais cela reste un véritable marathon et une épreuve, car il a été confronté au malaise de certains Français », a précisé Jean-Marc Morandini dans un tout nouveau numéro de « Morandini Live » diffusé ce lundi 24 février sur CNews et Non Stop People.
Pendant sa visite, Emmanuel Macron a dû affronter quelques critiques, notamment de la part d’une militante Gilet jaune qui a souhaité lui faire part de son ras-le-bol. « C’est ça qui se passe dans la rue, je vis la guerre (…) Vous vous rendez compte ! Vous ne recevez pas les gilets jaunes », a-t-elle lancé au chef de l’État. Ce à quoi il lui a répondu : « Je suis pour le dialogue. On peut prendre vos coordonnées ? Vous faites un groupe et je reçois un groupe ».
« Il s’est ouvert une fenêtre qui était indispensable »
Pour décrypter la visite d’Emmanuel Macron au Salon de l’Agriculture, Jean-Marc Morandini a fait appel à Jean-Christophe Gallien, expert en communication. Comment le chef de l’État s’en est-il sorti ? « C’est là où il est le meilleur. C’est vraiment sa capacité à lui d’être au contact. C’est vraiment là où il est très performant. Il a très envie de prendre cette dame par la main, par le bras (…) Pourquoi il reste autant de temps ? Pas seulement parce qu’il y a la ruralité autour de l’agriculture, c’est parce que c’est finalement une espèce d’agora de la France, non métropolitaine », a-t-il confié.
Au final, cette opération de communication est-elle réussie d’après lui ? « Plutôt oui parce que la séquence vient après l’affaire Benjamin Griveaux (…) Là, pour le coup, il s’est ouvert une fenêtre qui était indispensable, avec une France, s’il la manque là (…) le reste de l’année, c’est plus compliqué. Il y a les municipales derrière », a-t-il répondu.
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