Lady Diana et Meghan Markle : deux princesses « étouffant » sous les règles de la monarchie
Elles ne se connaîtront jamais, pourtant, un lien fort unit Meghan Markle et Diana Spencer. La première a donné naissance à un enfant dans les veines duquel coule l’héritage de la seconde. Lady Di, mère du prince Harry, disparue en août 1997, a elle aussi longtemps été mise de côté au sein de la famille royale. Une famille dont elle a voulu s’affranchir en se séparant du prince Charles, héritier de la couronne, en 1992, puis en divorçant officiellement en 1996. Plus de vingt ans après, c’est au tour du prince Harry et Meghan Markle de prendre leurs distances. Et après plusieurs journées de discussions avec la reine, finalement, Buckingham Palace a accepté de les laisser quitter leurs fonctions, leur retirant au passage leurs titres d’Altesses Royales. Meghan et Harry en profitent pour déménager loin des tabloïds et de leurs scandales quotidiens, au Canada, un pays que la duchesse de Sussex connaît bien puisque c’est là qu’elle a habité pendant sept ans, lorsqu’elle tournait la série « Suits ».
En 1996 déjà, la princesse Diana perdait son titre de noblesse, même si elle conservait son appartement dans le palais de Kensington, et devenait « Lady », tout comme Sarah Ferguson, déchue de son titre en divorçant du prince Andrew. Des décennies plus tôt déjà, un premier membre de la famille royale avait volontairement quitté ses fonctions par amour. Il s’agissait du roi Edouard VIII, oncle d’Elizabeth, qui par amour pour Wallis Simpson, une Américaine divorcée trois fois, avait renoncé au trône.
Interviewé par le « Sun », le journaliste Andrew Morton, célèbre pour avoir été proche de Diana, recueillant ses confessions pour une biographie incendiaire à l’encontre de la famille royale, a imaginé ce qu’aurait dit Diana de la décision de son fils. « Diana aurait eu beaucoup de sympathie pour Meghan et Harry, en particulier pour Meghan. Tout comme l’actrice américaine, Diana était mariée à Charles depuis environ un an avant d’être traitée de “démon” et de “monstre”. » Le biographe souligne que les deux femmes ont « étouffé » sous les règles de la vie royale et des tabloïds.
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