“J’en prenais plein la figure” : Stéphane Bern sans langue de bois, évoque son enfance avec sa mère

Dans Sept à Huit ce dimanche 9 janvier, Stéphane Bern s’est longuement confié sur son enfance et les souvenirs de sa mère, à la fois aimante et très stricte.

Bien qu’il soit aujourd’hui un homme comblé et heureux, Stéphane Bern n’a pas eu une enfance facile. D’origine polonaise, l’animateur emblématique de Secrets d’Histoire a des souvenirs mitigés sur son passé. De passage dans l’émission Sept à Huit diffusée sur TF1 ce dimanche 9 janvier, le présentateur de France Télévisions est revenu en détail sur son éducation et la relation avec sa mère. Interprète de métier, Melita Schlanger parlait couramment cinq langues : « Vous imaginez que quand je révisais mes leçons d’anglais ou d’allemand, j’en prenais plein la figure oui », a-t-il avoué.

Élevée par un père prussien, sa mère a également grandi dans une éducation stricte et portée sur les coups. Toujours à la recherche de la perfection, elle a transmis ces mêmes valeurs à Stéphane Bern. Face à Audrey Crespo-Mara, le compagnon de Yori a livré un témoignage bouleversant : « J’ai été battu quand c’était nécessaire, parce qu’à l’époque les châtiments corporels existaient. Et, je n’ai pas connu de jour sans prendre une gifle. » Malgré la dureté de son vécu, le passionné d’Histoire ne s’est jamais considéré comme un enfant martyr. Au contraire, la figure emblématique du petit écran a toujours gardé un amour profond pour sa mère.

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L’importance des « deux femmes de sa vie »

Loin d’être rancunier, Stéphane Bern n’a jamais développé de colère envers ses parents. « Elle m’a donné beaucoup d’amour et de tendresse aussi », a-t-il ajouté. Très ému à l’évocation de ce sujet, Stéphane Bern a difficilement retenu ses larmes : « Elle est là, tous les jours, avec moi. Mes morts vivent avec moi ! Ils sont en permanence en moi. Je vis avec mon Panthéon. Je les aime », a-t-il confié, la gorge nouée. L’animateur de Secrets d’Histoire a également évoqué avec beaucoup d’émotions sa grand-mère, très importante à ses yeux. À 58 ans, le spécialiste des familles royales garde précieusement près de son cœur celles qu’il aime appeler les « deux femmes de sa vie ».

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE

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