Jean-Michel Blanquer : le jour où sa compagne Anna Cabana a été draguée par DSK

Anna Cabana, compagne de Jean-Michel Blanquer qui est au centre d’une polémique concernant ses vacances à Ibiza, avait évoqué en 2016 sur RMC les supposées avances de DSK à son égard, pendant l’affaire du Carlton.

Ces derniers jours Jean-Michel Blanquer est la cible de critiques faisant suite à ses vacances à Ibiza. Le ministre de l’Éducation nationale se trouvait en vacances lorsqu’il a dévoilé tardivement le nouveau protocole sanitaire destiné aux écoles. Anna Cabana, sa compagne et journaliste, est également au centre de la polémique. L’occasion de revenir sur un autre scandale dont elle avait parlé en 2016. A cette époque, Anna Cabana faisait la promotion de son livre, Quelques minutes de vérité, sur le plateau de RMC. Un ouvrage à travers lequel elle aborde plusieurs sujets et dévoile moult anecdotes. L’animatrice de i24 News révélait notamment qu’elle avait fait l’objet d’avances de la part de DSK, et ce, pendant l’affaire du Carlton et le procès qui en découlera.

« À l’occasion d’une journée de pause dans le procès, DSK revient à Paris. Il me croise dans un restaurant où je déjeune avec une consœur journaliste », commence-t-elle pour planter le décor. DSK « drague » alors les deux femmes. « Il ne peut pas s’en empêcher. Il ne nous drague pas bien, mais pas méchamment non plus. Ce n’était pas du harcèlement. C’était presque cocasse », se souvient-elle. Et si elle a choisi d’aborder cet épisode dans ce livre, c’est parce que cette anecdote « en dit beaucoup de lui ». « Elle est extraordinaire de ce qu’elle dit du bonhomme. Il en a pris tellement plein la gueule sur ce terrain-là… et pourtant ça n’a rien changé dans sa façon de regarder la vie, les femmes, même ce jour-là, en plein milieu de ce procès. »

DSK a été relaxé dans l’affaire du Carlton

Un procès durant trois semaines et à l’issue duquel l’ancien directeur du FMI sera relaxé en 2015, soit plus de trois ans après l’éclatement au grand jour de cette affaire. Le tribunal correctionnel de Lille avait alors jugé que ce dernier avait eu « un comportement de client non répréhensible au regard de la loi pénale ».

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Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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