Guillaume Canet : ce jour où Marion Cotillard a livré une drôle d'anecdote à son sujet

Ce jeudi, M6 diffuse le film « Rock’n’Roll » dans lequel Marion Cotillard donne la réplique à Guillaume Canet, son compagnon et père de leur fils Marcel. Le 30 avril dernier, ils étaient tous les deux les invités de Yann Barthès dans son émission « Quotidien » diffusée sur TMC pour parler de la suite des « Petits mouchoirs ». L’actrice avait alors révélé une drôle d’anecdote sur l’acteur.

En avril dernier, Marion Cotillard avait assuré la promotion de « Nous finirons ensemble », second volet du film « Les Petits Mouchoirs ». Pour l’occasion, elle avait accepté de se confier à « 50 minutes Inside » en revenant sur les moments forts qui ont marqué sa vie, notamment sa relation avec son compagnon, Guillaume Canet. Ensemble, ils ont déjà joué dans plusieurs films, notamment en 2003 dans « Jeux d’enfants ».

« À l’époque, je suis heureuse de faire le métier dont j’ai toujours rêvé, je suis heureuse de tourner une comédie, je suis heureuse de tourner avec Guillaume parce que c’était un ami et nous n’étions pas si proches. Nous sommes devenus encore plus amis et ça a fait naître quelque chose de plus fort », disait-elle. Et de poursuivre : « Je pense qu’on a gardé cette envie de s’amuser et de rire ensemble. J’espère qu’on ne perdra jamais ça. J’ai confiance ».

À ce moment-là, Guillaume Canet et Marion Cotillard enchaînaient les plateaux de télévision pour promouvoir « Nous finirons ensemble ». Ils étaient passés sur le plateau de l’émission « Quotidien » présentée par Yann Barthès sur TMC. L’actrice avait alors livré une étonnante anecdote sur son compagnon qui l’a souvent dirigée sur des tournages. « Je crois qu’il m’a fait rouler des pelles à tous ses potes déjà », lâchait-elle. Et de poursuivre : « J’ai embrassé Matthieu Chedid, j’ai embrassé Maxim Nucci… » Ce à quoi Guillaume Canet avait réagi : « Il y a mon fils qui est devant la télé parce qu’il est fan de ‘Quotidien’. Et je voudrais vraiment préciser qu’on parle de film (…) Et ce ne sont pas tous mes potes : Il y a Matthieu Chedid… et il y a ce film-là », s’était-il défendu.

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