Franck Dubosc : le terrible souvenir de sa première boom
Ce mercredi, TMC diffuse « Fifty/Fifty », le nouveau spectacle de Franck Dubosc dans lequel il évoque ses rapports avec ses enfants, mais aussi sa relation avec sa femme. En janvier 2018, le comédien était l’invité de Karine Le Marchand dans « Une ambition intime ». Il avait alors livré une surprenante anecdote sur ses années lycée. Non Stop People vous en dit plus.
Dans un numéro de l’émission « Le Divan » diffusé en juin 2016 sur France 3, Franck Dubosc s’était confié à coeur ouvert à Marc-Olivier Fogiel. L’humoriste avait ainsi évoqué ses blessures d’enfance. Il avait notamment raconté comment il se faisait passer pour un fils de bonne famille. « À Rouen, j’allais dans une rue qui s’appelle la rue Jeanne d’Arc. Une rue un peu chic où il y avait de belles portes cochères, comme il y en a à Paris, comme celles que je voyais dans les films. Je prenais le bus, je descendais en bas de cette rue, je montais, et dès qu’une porte cochère était ouverte, je rentrais pour faire croire que j’habitais là. Faut être dingue ! » confiait-il.
Il avait ensuite été rattrapé par ses émotions lorsqu’il avait évoqué le souvenir de son père, mort de la maladie de Charcot en 2002. « Aujourd’hui, j’ai honte d’avoir eu honte de mon milieu social. Mais j’assume parce que c’est vrai. Mon père est mort en pensant que j’avais encore honte de lui », disait-il.
« Ça ne m’a pas du tout traumatisé »
En janvier 2018, Franck Dubosc était l’invité de Karine Le Marchand dans son émission « Une ambition intime ». Il avait profité de cette interview pour raconter un moment marquant de son adolescence qui s’était déroulé au lycée. À l’époque, il avait organisé une boom chez lui à laquelle il avait convié « une quinzaine de copains et de copines ». « J’avais demandé à mes parents le mercredi après-midi de ne pas être là. Donc ils n’étaient pas là. J’avais poussé les tables, on avait acheté des boissons. Mais personne n’est venu », lâchait-il face à l’animatrice, médusée.
« J’ai mis un petit peu le bordel et le soir, j’ai fait croire que tout le monde était venu. C’est triste maintenant, mais je n’ai pas été triste. J’étais très habitué à ça. Ça ne m’a pas du tout traumatisé », poursuivait-il.
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