EXCLU – “J’étais un père culpabilisant” : Matthieu Chedid cash sur ses craintes de parent
Invité ce samedi 11 juin de l’émission « L’invité de Pascal Nègre » sur RFM, Matthieu Chedid s’est beaucoup confié, notamment sur sa vie de père et ces moments où il a beaucoup culpabilisé.
A propos de
Matthieu Chedid
Suivre
Suivi
Il est L’invité de Pascal Nègre sur RFM ce samedi 11 juin. Matthieu Chedid, alias M, en a profité pour raconter quel père il est et comment il vit sa relation avec ses enfants. « La naissance d’un enfant, c’est tout de suite un lien avec nos parents, nos grands-parents », explique-t-il, avant d’ajouter : « C’est la boucle. Tout d’un coup, c’est l’éternel retour, on voit toute la transmission, toute la lignée, notamment chédidienne », précise-t-il en riant.
L’interprète de « Qui de nous deux » raconte aussi que la paternité à 40 ans se vit différemment qu’à 20 ou 25 ans : « Il y a un peu plus de recul, un peu moins de culpabilité. » Il précise alors : « J’étais un père très culpabilisant avec mes tournées. Je me disais : « Oh là là, j’abandonne ma famille. » J’avais la terrible impression d’être un fautif permanent. » Aujourd’hui, il est « dans l’acceptation qu’on ne peut pas tout faire. » « Il vaut mieux avoir des moments de qualité que de la quantité avec les enfants et leur transmettre des belles choses », confie-t-il.
Les enfants, une source d’inspiration
Matthieu Chedid va plus loin dans sa réflexion sur la paternité : « Je constate aussi qu’en fait, on éduque nos enfants, mais c’est aussi eux qui nous élèvent beaucoup. » Il précise : « J’apprends beaucoup de mes enfants. C’est quand même une quête permanente de vivre l’instant présent et d’être vraiment entièrement là. » Comme une confidence, M indique que les enfants « nous apprennent énormément. Donc c’est vrai que c’est une source d’inspiration [pour moi] ».
Dans son album Rêvalité qui est sorti le 3 juin dernier, M a inclus une chanson sur lui quand il était enfant, « Mogodo » : « C’est mon père qui m’avait surnommé Mogodo parce que je cherchais un prénom pour mon enfant intérieur », explique-t-il, mais aussi une chanson sur son fils « Petit Homme ». L’artiste raconte que l’un ne va pas sans l’autre : « Quand je pense à mon fils, je pense à mon père. »
Article écrit en collaboration avec 6Médias
Crédits photos : LIONEL URMAN/SIPA
Autour de
Source: Lire L’Article Complet