Emmanuel Macron fougueux à 21 ans : une surprenante vidéo refait surface

Dans le 20:15 express de Quotidien, le journaliste Paul Gasnier a déterré une archive d’Emmanuel Macron âgé de 21 ans.

Emmanuel Macron dans sa jeunesse. Dans sa chronique le 20:15 express diffusée sur Quotidien ce jeudi 28 avril, le journaliste Paul Gasnier a fouillé les archives vidéo de l’époque. En parcourant les vidéos datées des années 90 à propos de Jean-Pierre Chevènement, l’équipe de l’émission a mis la main sur une surprenante vidéo d’Emmanuel Macron, le président fraîchement réélu à la tête de l’Élysée, alors âgé de 21 ans.

« On est tombé sur des images de l’Université d’été de son parti en 1999″ explique d’abord Paul Gasnier pour illustrer les images où apparaît à un pupitre Jean-Pierre Chevènement. Avant d’ajouter : « Dans le public, un jeune de 21 ans, Emmanuel Macron. » Sur cet extrait de vidéo, le jeune homme à la crinière de feu semble rieur. Avec son voisin de table, le futur président échange vivement sur un sujet qui l’anime à en croire sa gestuelle. Vêtu d’une chemise bleue à manche courte, Emmanuel Macron se fond dans l’assemblée. Vingt après cette vidéo, les rôles se sont inversés : Jean-Pierre Chevènement soutient Emmanuel Macron.

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On est tombé sur des images de l’Université d’été de Jean-Pierre Chevènement en 99. Dans le public, on a trouvé un jeune sympathisant de 21 ans ?#Quotidien pic.twitter.com/Nhg6y3Cfwo

Jean-Pierre Chevènement lance un nouveau parti pro-Macron

Un nouveau parti pro-Macron – le neuvième – est né : Refondation républicaine. À la tête son président d’honneur, l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement. Ce dernier souhaite prolonger son vieux rêve : « unir les républicains des deux rives » autour du président réélu dimanche 24 avril face à Marine Le Pen. Jean-Pierre Chevènement a déclaré : «Mon soutien n’est pas un blanc-seing», mais une façon de «donner à Emmanuel Macron toute la chance de poursuivre son entreprise» de «redressement de la France». Il a également fait part des priorités selon lui : la «reconquête de l’indépendance industrielle, énergétique et agricole de la France», un «État stratège», l’«égalité des chances» à l’école, la laïcité, l’«Europe des nations», le rejet de l’«autorité budgétaire» et la lutte contre le «wokisme». À l’approche des législatives, il confirme qu’une «petite dizaine» d’adhérents du parti seront candidats.

Crédits photos : Romain Gaillard/Pool/Bestimage

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