Doc Gyneco a reconnu avoir donné quatre violentes gifles à son ancienne épouse
Deux ans après sa condamnation pour violence conjugale, Doc Gynéco revient avec un nouveau single intitulé …"Prince charmant". Un morceau annonciateur d’un nouvel album qui verra le jour courant 2024.
Un retour sur le devant de la scène pour le moins inattendue… Cinq ans après son dernier projet, Doc Gyneco revient avec un nouveau single annonciateur d’un nouvel album. L’ancien chroniqueur de Touche pas à mon postesort ce vendredi 24 novembre 2023 le morceau Prince Charmant accompagné d’un clip. Un premier extrait d’un nouveau projet annoncé pour février 2024 et réalisé par Rockin’ Squat (Mathias Cassel), leader du groupe de rap Assassin.
Un morceau dans lequel Bruno Beausire, de son vrai nom, se lance dans une sorte de déclaration d’amour. « J’embrasse une grenouille et elle devient princesse / Elle vérifie si je regarde YouPorn, des histoires de fesses (ça pue) / Critique ce que je mange sans cesse / Décide de toutes les destinations, de toutes les vacances / De mes fréquentations, veut entendre ce que je pense / Elle n’est pas enceinte / Elle écoute sans enceinte », lâche-t-il dans le premier couplet.
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Un condamnation pour violence
Un premier single dont le titre, Prince Charmant, n’a pas tardé à faire jaser… Et pour cause, pour rappel, l’interprète de Vanessa sort ce morceau deux ans après avoir été contaminé à cinq mois de prions avec sursis pour violence conjugale. En effet, Doc Gyneco avait d’ailleurs reconnu avoir donné quatre gifles violentes à son ancienne épouse qui présentait à l’époque un œdème à l’œil touche et des hématomes sur le visage.
Une agression qui avait valu à la victime 19 jours d’ITT, donc 14 jours pour détresse psychologique.
Placé en garde à vue, Doc Gyneco avait, dans des déclarations évolutives, mentionné un « coup de sang » in habituel puisqu’il s’agissait selon ses dires d’une « première en vingt-cinq ans » de concubinage. Confronté aux témoignages de sa femme et de leurs deux filles, qui ont, elles, pointé du doigt des « violences habituelles », et une « emprise » du père de famille sur sa compagne, l’artiste avait fini par reconnaître des violences plus anciennes.
L.Z.
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