Chef contre chef : pourquoi Cyril Lignac a craqué en plein tournage de l'émission
Deux semaines après la finale du « Meilleur Pâtissier », Cyril Lignac fait son retour sur M6 ce jeudi dans une nouvelle émission, « Chef contre chef ». C’est en Italie que le cuisinier a affronté Jean-François Piège à travers trois épreuves culinaires. Invité dans « Culture Médias » sur Europe 1, il a révélé avoir été très ému pendant le tournage. Non Stop People vous en dit plus.
Ce jeudi 12 décembre 2019, Cyril Lignac était l’invité de Philippe Vandel dans son émission « Culture Médias » diffusée sur Europe 1. L’occasion pour l’acolyte de Mercotte dans « Le Meilleur Pâtissier » de parler de la toute nouvelle émission qui débarque sur M6, à savoir « Chef contre chef ».
À travers trois épreuves culinaires, Cyril Lignac a affronté Jean-François Piège. « On est copain dans la vie, dans le métier. On partage la cuisine, nos secrets. C’est un concours de copains, c’est la bonne humeur ! On part en Italie et on fait le match », a-t-il confié. Un nouveau format qu’il a lancé avec sa société de production. « On a choisi l’Italie parce que c’est une culture de cuisine qui parle aux Français. On aime tous la cuisine italienne, mais on ne la connaît pas vraiment », a-t-il poursuivi. Cyril Lignac et Jean-François Piège vont donc s’affronter à travers une série d’épreuves qui leur rapporteront des points, l’épreuve finale étant celle qui en compte le plus, quatre au total.
Pendant cet entretien, Philippe Vandel a raconté l’un des moments forts de cette nouvelle émission, lorsque Cyril Lignac présente son plat lors de l’épreuve finale devant un jury de trois grands cuisiniers italiens. « Ça se voit à l’image, ils sont absolument séduits par votre plat. Après leur verdict, vous êtes au bord des larmes », lance-t-il au chef.
« C’est vrai que j’ai été submergé par l’émotion », répond-il. Et de poursuivre : « Quand on fait ce métier, en tout cas gastronomiquement, on est toujours dans la quête de quelque chose, d’une cuisine qui est toujours un peu millimétrée (…) Et là, quand j’ai fait ce plat, je me suis dit : ‘Je vais livrer la cuisine que j’aime’. La cuisine italienne, c’est une cuisine d’émotions. C’est ce que j’aime et c’est ce que je fais et donc, même si on est devant trois grands chefs, je ne vais pas essayer de faire une cuisine compliquée, je vais leur livrer un bout de moi (…) et finalement, ça les a touchés. Ils étaient même très émus. On cherche toujours la complication et finalement, la cuisine, n’est-ce pas un bout de soi-même, avec beaucoup de sensibilité ? ».
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