Cette semaine dans Gala : Jane Birkin, les dernières fiertés d’une mère, l’album photo de ses amours

Le nouveau Gala débarque dans les kiosques ce jeudi 20 juillet. Des interviews, des enquêtes, des portraits… Voici pourquoi ce numéro doit absolument se retrouver entre vos mains.

Chaque jeudi, avec Gala, une pause détente et évasion s’offre à vous ! Votre magazine vous propose de découvrir (ou redécouvrir) des personnalités connues, qui vous ressemblent, qui vous font vibrer, vous inspirent. Car les personnalités sont comme nous, font face à des joies, des peines, de grands événements… Ainsi, dans le numéro 1571 de votre magazine, notre hommage à Jane Birkin. Amoureuse fantasque, mère passionnée, artiste exceptionnelle, icône tout court, elle fut tout cela à la fois… et bien plus encore. Morte chez elle à Paris le 16 juillet à 76 ans, elle laisse à ses héritières Lou et Charlotte une jolie foule de souvenirs. Et à nous aussi.

Vivez au rythme des stars. Leur actualité, leurs biographies, leurs secrets, leur vie au quotidien… Tout cela n’aura plus aucun secret pour vous. Le rêve est à portée de main, alors pour vous abonner dès maintenant à Gala, vous pouvez vous rendre sur Prismashop.

C’est aussi Gala cette semaine…

Ce jeudi 20 juillet, qu’allons-nous vous proposer à lire ? Au programme, de la politique, de la lecture, des interviews, des analyses, des pages consacrées à la mode et à la beauté. Voici le sommaire :

Embarquement immédiat avec Vitaa. Avant d’attaquer la sortie de son album le 6 octobre prochain, sobrement baptisé Charlotte (son véritable prénom), elle va s’accorder quinze jours de break en août avec son mari, Hicham Bendaoud, avec le quel elle travaille, leurs trois enfants de 12, 8 et 1 an, ainsi que ses belles-filles de 18 et 21 ans, pour une croisière « famille nombreuse » sur la Méditerranée. La côte, la Corse, l’Italie. Au gré de leurs envies.

Brigitte Macron, dans les coulisses d’un dîner d’État. Emmanuel et Brigitte Macron ont reçu le Premier ministre indien avec faste le 14 juillet. Invité d’honneur du défilé sur les Champs- Elysées puis dans un Louvre entièrement privatisé, la journée fut exceptionnelle. Gala y était.

Où croiser les rois et les reines cet été ? Marchés, plages, restaurants… En vacances, les têtes couronnées se mélangent au commun des mortels. Alors, ouvrez l’oeil et suivez nos astuces pour les rencontrer. A vous de jouer !

L’interview de Fabienne Carat. Mère et fille sont inséparables. Fusionnelles. L’actrice de Section de recherches élève Céleste seule. Un choix de vie qu’elle assume. Discussion sans détours.

Le Gala de la semaine est disponible en version numérique dès ce jeudi 20 juillet. Abonnez-vous à Gala sur Prismashop pour recevoir le magazine directement à votre domicile. Et attention, pour les soldes, l’abonnement est à prix cadeau !

Crédits photos : BERTRAND RINDOFF PETROFF / BESTIMAGE

À découvrir en images

PHOTOS – Mort de Jane Birkin : Serge Gainsbourg, Jacques Doillon, Olivier Rolin… Les hommes ont marqué sa vie

Jane Birkin est la fille de David Birkin, un commandant dans la Royal Navy né en 1914. Il se marie avec l’actrice Judy Campbell en 1943. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il aide la Résistance française en convoyant de nuit, entre le Royaume-Uni et le Finistère, des combattants de la France libre. David Birkin et sa fille ont toujours été très proches.

Lorsque Jane Birkin se met en couple avec Serge Gainsbourg, de 18 ans son aîné, son père s’entend bien avec le chanteur. David Birkin décède par ailleurs cinq jours après la disparition de Serge Gainsbourg. Une tragédie dont l’actrice aura du mal à se remettre. Après ces deux décès douloureux, la chanteuse s’installe à Prat-ar-Coum, non loin de Lannilis, dans le Finistère. Un havre de paix breton devenu un refuge pour Jane Birkin. “Quelque chose en elle était cassé. Elle s’est accrochée à cet endroit”, témoigne un ami dans les colonnes du JDD en 2015.

Andrew Birkin est l’aîné de Jane Birkin. Il naît en 1945, presque qu’un an jour pour jour avant sa cadette. Très proches, frère et soeur ont toujours veillé l’un sur l’autre. Ils posent ici ensemble en 1996.

Assistant de Stanley Kubrick sur 2001, l’Odyssée de l’espace en 1968, Andrew Birkin se fait connaître en écrivant plusieurs scénarios : Le Joueur de flûte de Jacques Demy en 1972, Flame Richard Loncraine en 1975 ou encore Le Roi David de Bruce Beresford en 1985. Il travaille également à l’adaptation du roman d’Umberto Eco, Le Nom de la rose, réalisé par Jean-Jacques Annaud en 1986. Plus récemment, il collabore au scénario du film Le Parfum, tiré du roman de Patrick Süskind. Andrew Birkin est également passé derrière la caméra en réalisant, entre autres, Burning Secret en 1988 et Cement Garden (The Cement Garden) dans lequel joue en 1993 sa nièce Charlotte Gainsbourg.

Complices, Andrew et Jane Birkin ont grandi ensemble et partagé leurs joies et leurs peines, au fil des années. C’est ainsi que dans les années 1970, lorsque Jane Birkin s’est mise avec Serge Gainsbourg, son frère a développé une relation très forte avec son compagnon.
Si bien qu’en 2013, 12 ans après la disparition du chanteur, Andrew Birkin publie un livre de photographies inédites et intimes documentant l’histoire entre sa cadette et le musicien, appelé Jane & Serge. Un album de famille (éd. Taschen). Moments de tendresse, grossesse, premiers pas de Charlotte, repas entre amis, vacances en famille, éclats de rire, balades…Le grand frère de Jane Birkin livre aux adorateurs de l’ex-couple le témoignage de dix ans d’amour dont tout le monde se souvient encore. “Je suis tombée amoureuse de Serge. Andrew est tombé amoureux de Serge. Serge est tombé amoureux d’Andrew. Nous étions un trio”, s’était souvenue l’actrice lors de la publication du livre.

En 1965, alors qu’elle n’était âgée que de 17 ans, Jane Birkin épouse le pianiste et trompettiste de jazz britannique John Barry. Ce dernier, déjà marié une fois par le passé, est à l’époque déjà père. Une union difficile à encaisser pour les parents de la chanteuse, comme elle l’expliquait dans l’émission Thé ou café sur France 2 en 2017. “Il avait 13 ans de plus, il avait déjà été marié une fois, il avait eu un enfant avec la fille au pair… Il était vraiment quelqu’un de très dangereux, mes parents le pensaient, à juste raison”, se souvient Jane Birkin, qui est malgré tout allée au bout de cette histoire, contre l’avis de son père. “Finalement, je lui ai tordu le bras et il m’a laissé me marier. Mais pour lui, c’était une catastrophe : d’une, je faisais du théâtre comme maman, et de deux, je me suis mariée.”

Leurs deux années de mariage ne sont pas heureuses pour Jane Birkin. Pendant la promotion de son film Oh pardon ! tu dormais… en 1992, la réalisatrice raconte : “À l’époque où je vivais avec John Barry, on me donnait des somnifères pour que je ne fasse pas de bruit lorsque je pleurais.”

Interviewée en 2020 dans ELLE, Jane Birkin s’épanche un peu plus encore sur cette union complexe. “Quand je me suis mariée à John Barry à 18 ans, je n’étais qu’un visage recouvert de peinture, me cachant derrière un masque de maquillage. Je dormais avec un crayon pour les yeux sous mon oreiller. Je voulais pouvoir m’en mettre au cas où il se réveillerait dans la nuit… pour qu’il ne pense pas que j’ai des petits yeux de cochon. J’avais tellement de complexes, c’était fou. J’ai passé la majorité de mon temps à essayer de ressembler à un tableau de mode.”

De son mariage avec John Barry naît une fille, Kate, le 8 avril 1967 à Londres. Photographe portraitiste, celle-ci vit à Paris jusqu’à sa mort brutale, en 2013.

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