Bruno Guillon : ce comportement qu’il ne laisse jamais passer chez les candidats des Z’amours

Chaque jour, c’est armé de bonne humeur que Bruno Guillon présente Les Z’amours sur France 2. Ce qui ne l’empêche pas de remettre certains candidats à leur place de temps en temps.

Voilà maintenant deux ans que Bruno Guillon a repris la place de Tex à l’animation des Z’amours. Et cette nouvelle expérience l’a plus que ravi ! Il faut dire qu’avec tout ce que les candidats lui racontent, difficile de se lasser. Chaque émission est l’occasion pour les couples de livrer des petites anecdotes sur leur vie de couple. Des confidences sans lesquelles le jeu ne serait rien selon son animateur actuel : « Ce qui en fait le succès, ce n’est pas tant la personne qui l’anime que les couples qui participent. Ce sont eux qui font que, chaque jour, l’émission est différente. J’aime écouter ce qu’ils racontent » a-t-il expliqué à Télé 7 Jours. Mais certains prennent parfois un peu trop leurs aises.

Pas de violence

Emportés par l’ambiance de l’émission, quelques-uns prennent visiblement un peu trop la confiance. Au point de finir par activer le mode macho de leur cerveau. Dès lors qu’il en fait la constatation, Bruno Guillon passe à l’action. Hors de question pour lui de franchir la ligne rouge sur son plateau. Alors dès que l’un d’entre eux s’en approche un peu trop, il n’hésite pas à le rappeler à l’ordre : « Il m’est arrivé de m’énerver gentiment face à des candidats masculins qui frisaient le manque de respect à l’égard de leur femme ou de leur petite-amie. C’est mon seuil de tolérance » précise-t-il. Dernier exemple en date : le 24 janvier dernier, Thomas expliquait être très possessif envers sa compagne Maroussia, allant jusqu’à utiliser un « c’est à moi » pour parler d’elle. De quoi faire bondir Bruno Guillon : « En tout cas, il y a une chose qui est sûre Thomas, c’est qu’en 2020, on ne dit pas d’une femme “elle est à moi”, on vit avec mais ce n’est pas un objet, c’est une personne avec qui on partage sa vie ». Une leçon plus que nécessaire

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