Brigitte Macron “le visage grave” : “Elle sait que les 5 prochaines années seront extrêmement dures”

Dans les colonnes du Point, ce mercredi 4 mai, Gérard Collomb a estimé que Brigitte Macron aurait une certaine appréhension au sujet du renouvellement du mandat présidentiel de son mari.

Ancien maire de Lyon et ex-ministre de l’Intérieur d’Emmanuel Macron, Gérard Collomb a accordé un long entretien au Point, ce mercredi 4 mai. L’occasion pour lui de revenir sur le quinquennat passé du président de la République et sur la manière dont se présente son nouveau mandat. Dans les colonnes de nos confrères, l’homme politique de 74 ans a également évoqué l’état d’esprit de la première dame, qui ne serait, selon lui, pas si enthousiaste que ça vis-à-vis de la réélection de son époux.

« Au Champ-de-Mars, le soir de la victoire, il y avait un signe qui ne trompait pas : le visage de Brigitte Macron », a assuré Gérard Collomb, qui a remarqué que celui-ci « était grave » et trahissait son appréhension. « On voyait bien qu’elle savait que les cinq prochaines années seront extrêmement dures », a-t-il estimé, avant de préciser que le Président « en a parfaitement conscience aussi ». Peu avare en conseils, l’homme politique lui a recommandé, par le biais de nos confrères, de « s’entourer de gens qui n’hésitent pas à l’informer de la réalité, même quand elle est moins bonne qu’on le souhaiterait ». « S’il n’a autour de lui que des béni-oui-oui, cela peut devenir compliqué », a-t-il ajouté.

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Une première dame « heureuse » dans son engagement ?

Quoi qu’il en soit, Brigitte Macron n’aurait pas été si mal à l’aise que ça à l’Élysée… Dans le magazine Gala, paru jeudi 28 avril, l’un de ses conseillers avait assuré qu’elle avait même été « heureuse » durant le premier mandat de son mari. Un de ses amis avait aussi souligné qu’elle « espère surtout avoir donné du sens à la fonction de première dame, même si elle n’aime pas cette appellation ». Dans les colonnes de Soir Mag, il y a quelques jours, l’historienne Joëlle Chevé avait, pour sa part, mis en lumière l’engagement de la femme d’Emmanuel Macron en faveur des réfugiés ukrainiens et notamment « des enfants malades ». « C’est devenu une seconde carrière pour elle », avait-elle expliqué.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : JB Autissier / Panoramic / Bestimage

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