Anne-Sophie Lapix écartée du JT de France 2 ? Cette déclaration qui devrait la rassurer…

Nouveau directeur de l’information de France Télévisions, Alexandre Kara évoque l’avenir d’Anne-Sophie Lapix aux commandes du journal de 20 heures de France 2. Dans les colonnes du Figaro, il répond aux critiques sur la journaliste redoutée des politiciens.

Anne-Sophie Lapix est-elle sur la sellette ? Alors que la rumeur sur son départ du 20 heures de France 2 court, Alexandre Kara assure l’inverse. Directeur de l’information de France Télévisions, il répond au Figaro : « Si on changeait de présentateur de JT à chaque fois qu’une femme ou un homme politique n’est pas content, nous n’aurions plus assez de journalistes pour présenter les journaux ! »

Avant de rappeler que « nous ne sommes pas là pour satisfaire nos invités politiques ». Quant à Anne-Sophie Lapix, il salue son « professionnalisme, sans concession » lorsqu’elle « mène ses interviews ». « C’est une journaliste qui a le courage de poser toutes les questions, poursuit Alexandre Kara. Nous avons beaucoup de pressions, notre devoir est de résister ». Alors pour « être clair » : « Anne-Sophie Lapix sera présente à la rentrée 2023 aux commandes du 20 heures, à moins qu’elle n’en décide autrement ». De son côté, la journaliste ne s’est pas prononcée.

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Anne-Sophie Lapix répond aux critiques

Cible de nombreuses critiques, elle aurait été écartée de la présentation du débat de l’entre-deux tours à la demande d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen. La cheffe de file du RN n’aurait jamais caché son désamour pour l’épouse d’Arthur Sadoun. « Je ne suis pas non plus le Che Guevara de l’info, mais le fait de poser des questions un petit peu incisives, gêne les politiques, et finalement aujourd’hui, c’est une espèce de protection« , a expliqué la journaliste sur le plateau de C médiatique sur France 5 ce dimanche 11 décembre.

Avant de s’expliquer : « Les critiques de certains politiques, notamment sur une certaine pugnacité, m’ont finalement protégée car il y a plutôt des réactions, dans d’autres médias, de soutien, c’est devenu une espèce de protection ». Jugée trop souriante lors de ses interviews, elle répond : « J’ai toujours souri pendant mes interviews. Quand il y avait des questions un petit peu difficiles, je souriais un petit peu plus […] comme on fait dans la vie […] et ça, au 20 heures, ça ne passe pas du tout […] donc j’ai essayé de gommer ça ».

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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À la fin des années 1980, David Pujadas devient reporter sur TF1 avant de rejoindre LCI en 1994. Il a alors 30 ans et amorce une glorieuse carrière. En 2001, le journaliste rejoint France Télévisions et s’impose comme le maître de l’information. Côté style, peu de choses ont changé, à part ses lunettes, qu’il n’arbore plus.

La star de France 2, qui s’attache à percer les secrets du « monde merveilleux des affaires » dans Cash Investigation,a commencé sa carrière en 1983 sur la chaîne FR3 Caen. Puis, en mars 1990, à 27 ans, Elise Lucet prend les commandes du 19/20 sur la chaîne publique. Désormais âgée de 58 ans, la journaliste a totalement changé de look !

C’est en 1992, à seulement 23 ans que Christine Kelly fait ses premiers pas à la télé sur la chaîne Archipel 4, diffusée en Guadeloupe. Par la suite, elle quitte la présentation pour devenir journaliste. En 2000, à 31 ans, elle rejoint LCI. À 52 ans, si Christine Kelly a bien changé, elle n’a rien perdu de son charme.

Après des études de lettres et un master en sociologie politique, Apolline de Malherbe rejoint le groupe NextRadioTV. De 2008 à 2011, elle est correspondante de BFMTV à Washington et se dévoile au grand public en couvrant l’affaire DSK. Mais avant cela, en 2007, la journaliste a alors 27 ans et publie son premier essai Politiques cherchent Audimat, désespérément (Albin Michel). Côté style, Apolline de Malherbe arbore désormais un look plus moderne, mais le temps ne semble pas apparaître sur son visage.

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