Agnès Buzyn : pourquoi son mari Yves Lévy est « son talon d’achille »

D’après une proche d’Agnès Buzyn, celle-ci a un point faible : son mari Yves Lévy. Nos confrères du JDD ont consacré un long papier à l’ex-ministre de la Santé dans lequel de nombreuses sources proches se sont exprimées sur la relation de ceux qui sont mariés depuis bientôt 23 ans.

L’amour peut-il nous faire défaut ? Depuis 1997, Agnès Buzyn est mariée à Yves Lévy et d’après une de leurs proches, l’ex-directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) est « le talon d’achille » ce celle qui a été ministre de la Santé. Ce dimanche 13 avril, nos confrères du JDD ont consacré un long papier a celle qui a quitté son poste au sein du gouvernement pour se lancer dans la course aux municipales en remplacement de Benjamin Griveaux, qui permet d’en apprendre un peu plus sur son couple.

Ainsi, le journal revient sur un conflit d’intérêts auquel la médecin a fait face en 2018, quelques mois seulement après avoir été nommée ministre de la Santé. « On ne peut rien comprendre à Agnès Buzyn si l’on ne sait pas qu’elle se sent coupable de freiner la carrière de celui qui partage sa vie, » notent nos confrères en début d’article. Et pour cause, Yves Lévy, lui aussi immunologiste, a dû renoncer à son renouvellement à la tête de l’Inserm, en 2018, après que sa femme soit entrée au gouvernement.

Un peu plus tard, Agnès Buzyn s’était démenée pour que son mari obtienne des compensations et évidemment, cela a fait la polémique. Pour les proches du couple, Yves Lévy apparaît clairement comme l’élément qui peut être le point faible de celle qui a dû affronter le début de l’épidémie de coronavirus. Comme un couple modèle, ils font face à toutes les épreuves ensemble, ainsi lorsqu’Agnès Buzyn se lance dans les municipales 2020, elle a le soutien de son époux qui répond présent lors de ses nombreuses réunions. « Ils ont eu une ambition collection. Il est le coach, elle est la bonne élève, » relevait même un politique souhaitant garder l’anonymat.

Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE

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